La lutherie Vocale?

certes, tout le monde n'est pas né rossignol...

mais tout le monde peut chanter!

A sa mesure...

Et, pour beaucoup, chanter est un besoin vital!

C'est pourquoi La lutherie Vocale  s'adresse à tout un chacun, quelque soit ses possibilités,

pour faciliter son accès au chant

en lui donnant des outils sur mesure

et pour l'aider à découvrir sa "caverne d'Alibaba" personnelle.

 C'est une exploration sensorielle, respiratoire, corporelle, mais aussi poétique, 

qui permet de  gagner en aisance et en richesse vocale.




S’approprier, mais aussi s'inventer des outils pour déployer sa voix, cet instrument "qui nous vient en naissant":

Petit à petit, modifier, enrichir, affiner son schéma corporel vocal, améliorer l'image vocale de soi pour gagner en confiance et en aisance

que ce soit pour mieux chanter, sous sa douche comme en public, 

ou encore optimiser ce support de communication qu'est la voix, pour tous ceux qui l'utilisent dans leur quotidien professionnel.

 De la lutherie?

Oui! 

Car, mine de rien, on y assouplit ce qui s'est crispé, 
on y redresse ce qui s’affaisse, 
on y tonifie ce qui se ramollit, 
on y ravive ce qui s'est peut-être un peu terni, au vent et à la pluie de la vie quotidienne!

On remet de la joie, du son, de l'émotion, de l'inventivité, de la beauté!
dans cet instrument de musique qu'est notre voix...

Mais avec la douceur, la bienveillance, la patience et l'optimisme de tout luthier passionné...



Des outils? 

Oui! 

Explorations sensorielles, 
exercices simples d'ancrage,
étirements, 
respiration,
présence à soi, 
choix d'intentions expressives,
écoute, 
rythmes et mouvements
imagination poétique..



Enfin, la Lutherie Vocale donne la part belle au "chanter ensemble":

amener le chant partout où c'est possible, voire impossible! 

Donner à chanter ensemble sans avoir besoin de connaissances techniques ou musicales, 

pour le plaisir de sonner ensemble et se découvrir des possibilités insoupçonnées ou oubliées... 



Le logo de la Lutherie Vocale a été réalisé par Béatrice Sicouri (BACOM)

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